Réduire le risque de rencontres avec des animaux sauvages

Le ministère des Ressources naturelles encourage les Néo-Écossais à apprendre comment réduire le risque d'attirer les animaux sauvages nuisibles dans leur quartier.Il n'est pas inhabituel de voir des animaux sauvages dans de nombreuses collectivités, mais ces animaux peuvent devenir nuisibles et parfois entraîner des risques pour les animaux domestiques et les humains. « Les ours, les renards, les coyotes, les ratons laveurs et de nombreux autres animaux s'adaptent facilement à la vie près des humains si une source d'alimentation est à leur disposition, affirme Bob Petrie, directeur de la faune. C'est ce qui augmente la possibilité de rencontres indésirables avec les animaux sauvages dans nos quartiers. »Les résidents qui assurent une source d'alimentation pour les animaux sauvages en sont rarement conscients. La nourriture pour les animaux domestiques qui est laissée à l'extérieur est souvent mangée par des animaux sauvages à l'insu des résidents. Les mangeoires à oiseaux attirent souvent des souris qui, à leur tour, attirent des renards et d'autres prédateurs. Les représentants de la faune recommandent de bloquer les points d'accès sous les seuils de porte, sous les remises et dans les greniers afin de réduire les endroits qui pourraient être utilisés comme des repaires.« En réduisant les repaires possibles et les sources d'alimentation, les Néo-Écossais peuvent réduire la présence d'animaux sauvages et assurer la sécurité des gens et des animaux sauvages », déclare M. Petrie. Si la présence d'animaux sauvages entraîne des préoccupations concernant la destruction de biens ou la sécurité des humains, ou si vous trouvez un animal malade ou blessé, communiquez avec le bureau du ministère des Ressources naturelles de votre région. Une carte montrant l'emplacement des bureaux et les coordonnées se trouvent au www.novascotia.ca/natr/staffdir/offices.asp.Pour en apprendre davantage sur les animaux sauvages et à d'autres sujets, consultez le https://novascotia.ca/natr/wildlife/living-with-wildlife (en anglais seulement).POUR DIFFUSION :     Le ministère des Ressources naturelles encourage les Néo-Écossais à apprendre à réduire le risque d'attirer les animaux sauvages nuisibles dans leur quartier.     Il n'est pas inhabituel de voir des animaux sauvages dans de nombreuses collectivités, mais ces animaux peuvent devenir nuisibles et parfois entraîner des risques pour les animaux domestiques et les humains.      Bob Petrie, directeur de la faune, souligne que les ours, les renards, les coyotes, les ratons laveurs et de nombreux autres animaux s'adaptent facilement à la vie près des humains si une source d'alimentation est à leur disposition, ce qui augmente la possibilité de rencontres indésirables avec les animaux sauvages dans nos quartiers.      Les représentants de la faune recommandent de bloquer les points d'accès sous les seuils de porte, sous les remises et dans les greniers afin de réduire les endroits qui pourraient être utilisés comme des repaires.Source: Release

Le ministère des Ressources naturelles encourage les Néo-Écossais à apprendre comment réduire le risque d’attirer les animaux sauvages nuisibles dans leur quartier.

Il n’est pas inhabituel de voir des animaux sauvages dans de nombreuses collectivités, mais ces animaux peuvent devenir nuisibles et parfois entraîner des risques pour les animaux domestiques et les humains.

« Les ours, les renards, les coyotes, les ratons laveurs et de nombreux autres animaux s’adaptent facilement à la vie près des humains si une source d’alimentation est à leur disposition, affirme Bob Petrie, directeur de la faune. C’est ce qui augmente la possibilité de rencontres indésirables avec les animaux sauvages dans nos quartiers. »

Les résidents qui assurent une source d’alimentation pour les animaux sauvages en sont rarement conscients. La nourriture pour les animaux domestiques qui est laissée à l’extérieur est souvent mangée par des animaux sauvages à l’insu des résidents. Les mangeoires à oiseaux attirent souvent des souris qui, à leur tour, attirent des renards et d’autres prédateurs.

Les représentants de la faune recommandent de bloquer les points d’accès sous les seuils de porte, sous les remises et dans les greniers afin de réduire les endroits qui pourraient être utilisés comme des repaires.

« En réduisant les repaires possibles et les sources d’alimentation, les Néo-Écossais peuvent réduire la présence d’animaux sauvages et assurer la sécurité des gens et des animaux sauvages », déclare M. Petrie.

Si la présence d’animaux sauvages entraîne des préoccupations concernant la destruction de biens ou la sécurité des humains, ou si vous trouvez un animal malade ou blessé, communiquez avec le bureau du ministère des Ressources naturelles de votre région. Une carte montrant l’emplacement des bureaux et les coordonnées se trouvent au www.novascotia.ca/natr/staffdir/offices.asp.

Pour en apprendre davantage sur les animaux sauvages et à d’autres sujets, consultez le https://novascotia.ca/natr/wildlife/living-with-wildlife (en anglais seulement).


POUR DIFFUSION :

     Le ministère des Ressources naturelles encourage les

Néo-Écossais à apprendre à réduire le risque d’attirer les

animaux sauvages nuisibles dans leur quartier.

     Il n’est pas inhabituel de voir des animaux sauvages dans de

nombreuses collectivités, mais ces animaux peuvent devenir

nuisibles et parfois entraîner des risques pour les animaux

domestiques et les humains.

     Bob Petrie, directeur de la faune, souligne que les ours,

les renards, les coyotes, les ratons laveurs et de nombreux

autres animaux s’adaptent facilement à la vie près des humains si

une source d’alimentation est à leur disposition, ce qui augmente

la possibilité de rencontres indésirables avec les animaux

sauvages dans nos quartiers.

     Les représentants de la faune recommandent de bloquer les

points d’accès sous les seuils de porte, sous les remises et dans

les greniers afin de réduire les endroits qui pourraient être

utilisés comme des repaires.

Source: Release

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